Virginie Où L’Art De La Fellation (Épisode 1)

Lorsque je fis la connaissance de Virginie pour la première fois, nous étions jeunes et
beaux et l’avenir s’ouvrait allègrement devant nous. Nous étions alors que deux ados, au
lycée, et nous avions alors 16 ou 17 ans et vivions ensemble nos premiers émois amoureux.
A ne pas compter les flirts de l’adolescence que nous pouvions avoir eu l’un et l’autre,
nous étions les premiers, sans expérience, juste avec notre cœur qui battait fort chaque
fois que nous nous rencontrions : Virginie était ma première et moi, j’étais son premier.
C’est sans dire qu’après toute ces années, nous avons fait du chemin ensemble. Du premier
flirt ou baiser amoureux au dépucelage, aux lieux insolites, nous étions les plus beaux
amants du monde à l’image de Tristan et Iseult, ou de Musset avec Georges Sand.

Chaque mercredi, nous nous retrouvions seuls dans sa chambre parce que sa mère
travaillait. Nous passions nos après-midis tous les deux, en amoureux jusqu’à cette
première fois ; puis vint cette première fellation tant espérée, mais pour qui réellement
?

Car, il faut que je vous le dise, n’en seriez-vous pas surpris, je n’ai pas été le
premier a demandé ni a supplié cette fellation tant espérée. De mon émoi, je crus qu’il
était de mauvais ton de faire cela avec celle que j’aime, ma douce Virginie. Puis vint ce
premier jour : un soir ou était-ce une après-midi, la belle, gourmande, descendit en
m’embrassant vers mon bas-ventre, moi pensant qu’elle allait s’arrêter juste là, sans
descendre plus bas.

La réalité est que je me souviens de ce jour-là car c’était la première fois que mon sexe
fut pris par la bouche d’une fille. Nous étions alors peut-être en terminale, année de
nos 18 ans, la vie pleinement devant nous, à croquer à pleines dents.

Virginie n’était alors pas experte dans l’art de la fellation.

Vous étonnerais-je ?
C’était sa première fois et moi, c’était aussi ma première fois. Pourtant elle me suça
divinement bien pour une débutante, cherchant à faire de grands mouvements et à me
prendre entièrement dans sa bouche. Je ne voulais pas mais je laissais faire. Aussi, il y
eut cette fois, puis une autre puis une autre et encore une autre jusqu’à ne plus savoir
compter. Un vrai miracle pour tout ceux qui ont gouté à cette caresse délicieuse et
onctueuse. Pourtant, si ma belle suçait bien pour une débutante, en revanche elle
n’avalait pas, du moins pas encore et jamais je n’aurais voulu lui faire cela. Au mieux,
j’allais jusqu’à jouir presque dans sa bouche, me retirant juste avant au moment où je
sentais que je venais. Chaque fois alors, ma belle se dessaisissait alors de mon sexe,
heureuse de m’avoir porté à la jouissance ; je finissais alors mon affaire dans un
mouchoir en papier qu’elle me tendait souvent.

A cette époque, je ne pensais aucunement qu’elle deviendrait une pro de la fellation,
devrai-je dire une amatrice car jamais ici il n’a été question de rémunération entre elle
et moi à ce sujet.
Ma belle ; dès lors, et je ne le vis peut-être pas encore assez à l’époque était beaucoup
plus délurée que moi :
- C’est elle en effet qui me suça la première, c’est-à-dire avant même que je lui
demande, de son propre gré.
- C’est elle qui ensuite m’a dit qu’elle voulait me prodiguer cette caresse juste
pour me faire plaisir, et qui me dit qu’elle avait déjà vu cela dans des films, cochons
biens évidemment.
- C’est elle enfin, qui la première me garda en bouche pour gouter et avaler ma
semence car, de mémoire je m’en souviens encore, un jour où je sentis que j’allais venir
dans sa bouche et que je m’apprêtai à me retirer pour ne pas jouir en elle, la belle me
garda presque contre ma volonté, bloquant mon sexe dans sa bouche et déglutina, heureuse
ensuite de dire que mon sperme avait un bon goût.


Cette expérience est sans doute ce qui fit que Virginie est gravée à jamais dans mon
cœur, si putride soit-il quand je repense à ses excès (ses gang-gangs et autres doubles
ou éjacs faciales, devenus depuis très nombreuses).

Réalisant tout cela, je me dis que oui, ma belle chérie avait du potentiel dès l’époque
et que peut-être je n’ai su canaliser ce potentiel pour ne le partager qu’avec elle et
elle avec moi car comme vous le savez si la belle n’est pas coureuse, elle aime néanmoins
être courtisée au plus profond d’elle et d’être bien même culbutée.
C’est sans doute dans cette histoire qu’il faut voir l’évolution de ma belle :
- D’abord, jeune fille un peu coincée, une sainte-nitouche, mais très vite
intéressée par le sexe, en dépit des apparences.

On dit souvent que ce sont souvent les filles qui paraissent le moins qui donnent le
plus. De mon expérience, c’est surement vrai et je pourrais encore vous conter les
nouveaux et derniers exploits de ma belle, tendre et mystérieuse à la fois.
Vous dirai-je aussi que ce fut elle la première qui me proposa ensemble de visionner
quelques films X ? qu’elle prit du plaisir seule en solitaire devant l’un ou l’autre de
ces films, sans m’en parler avant, bien sûr. Surement ; un jour.

Il y a tant à dire en effet pour celle que j’aime qu’un monument ne suffirait pas à tout
inscrire. Je vous conterai sans doute tout cela dans un prochain texte (le volet 2) de
l’art de la fellation selon Virginie. Vous verrez que la belle recèle encore bien des
surprises.

A bientôt

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